Retour d'expérience de la CASDEN Banque Populaire

Témoignage de Laurent Burguière, Directeur Général Adjoint de CASDEN Banque Populaire

La CASDEN Banque Populaire est la banque coopérative de la Fonction publique, établissement du Groupe BPCE. Elle accompagne depuis plus de 60 ans les enseignants, chercheurs, personnels hospitaliers, agents des collectivités territoriales et plus largement l’ensemble des agents publics dans leurs projets, avec une offre complète en matière d’épargne, de crédits et de services bancaires. Fidèle à son modèle coopératif, elle place l’intérêt collectif et la proximité au cœur de son action.

Pourquoi avoir contacté Infortive ?

Tout est parti d’une recommandation. Nous avions travaillé avec une ancienne directrice informatique de Natixis (groupe BPCE), qui a ensuite rejoint un cabinet de conseil en IT. Lorsque je lui ai dit que nous cherchions un DSI de transition, après une période où j’avais moi-même assuré directement la fonction, elle m’a conseillé de contacter Infortive. Elle m’a expliqué qu’Infortive était à la fois un cabinet de management de transition et une communauté de DSI de transition qui s’entraidaient.

Nous avions aussi sollicité le cabinet qui nous avait déjà placé deux personnes dans la DSI, ainsi que deux autres cabinets. Mais nous avons choisi de travailler avec Infortive pour plusieurs raisons :

• À chaque échange, Hajar montrait une réelle motivation, prenait la mission à cœur et exprimait une énergie bien supérieure à celle des concurrents. Sa personnalité et son engagement ont été déterminants pour moi.
• La qualité des profils proposés.
• La clarté et l’attractivité du dispositif contractuel.
• Une vraie cohérence entre les profils, les entretiens et le prix.
• Et surtout, une excellente compréhension de notre besoin, aussi bien sur les compétences techniques que sur les qualités humaines. Notre banque coopérative a un environnement très spécifique en matière de gouvernance et de management. Infortive a su identifier des profils ayant déjà évolué dans des contextes similaires, notamment mutualistes.

Les profils étaient de qualité, et lors de la short-list, celui de Jérôme Marsaud s’est imposé, même s’il dépassait le budget que je m’étais fixé. L’entretien qu’il a passé avec le DG et le DRH — nous étions très prudents sur ce recrutement compte tenu des transformations à mener — a fini de nous convaincre.

Quelles qualités techniques ou managériales vous ont marqué chez le DSI de Transition ?

Nous étions déjà engagés dans des transferts d’activité inédits pour nous (42 collaborateurs transférés dans le groupe). La partie sociale était cadrée, mais il fallait accompagner le mouvement. Les premières étapes se sont bien passées et nous avons rapidement constaté que le choix de Jérôme était le bon. Nous avons donc prolongé sa mission. L’investissement est conséquent, mais sa valeur ajoutée le justifie pleinement.

Chez Jérôme, particulièrement car il est DSI de Transition, j’ai apprécié :

• Sa capacité à s’adapter très vite au contexte et aux interlocuteurs. C’est essentiel : on ne peut pas attendre six mois pour qu’il soit opérationnel.
• Son rôle de « bad cop » face à certains fournisseurs ou au groupe. Comme il n’a pas d’enjeu de carrière à long terme, il peut se montrer exigeant, y compris dans la forme. C’est très utile : il peut aller au front sur des sujets sensibles, puis nous trouvons ensuite des compromis. Lui-même dit de ne pas hésiter à l’utiliser comme un bélier pour enfoncer des portes.

Comment l’équipe a-t-elle réagi ?

Il y a eu une phase d’observation — comme il y en aurait eu pour un recrutement interne. Très vite, ils ont vu qu’il avait le niveau technique attendu, ce qui est essentiel pour des informaticiens. Surtout, il a eu les bons réflexes face aux problématiques et les a soutenus dans certaines situations, notamment lorsque l’on voulait nous imposer une charge supplémentaire.

Il a trouvé le bon équilibre entre sa posture d’externe et son implication opérationnelle. Ce qui plaît dans son style, c’est qu’il est direct, mais toujours avec une excellente intelligence relationnelle et un pragmatisme. Il va droit au but, et les équipes apprécient ce langage simple et clair.

Il est également respecté par ses pairs, les autres directeurs de l’entreprise, et parfaitement intégré aux rituels managériaux, jusqu’au comité d'état major. En réalité je l’intègre comme s’il était DSI titulaire.

Et la suite ?

Nous sommes tellement satisfaits que nous envisageons aujourd’hui de solliciter Infortive pour la chasse de tête de notre futur DSI.

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Merci à Laurent Burguière de nous avoir partagé son retour d’expérience‍